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  • Gardes-frontière perdus dans la campagne genevoise: que fait Eric Stauffer!

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    "Mais avec 40 personnes envoyées à grands frais chaque mois à Genève, on est loin de boucher les trous de l'effectif genevois : il manque plus de 70 postes!" conclut la note de la TSR.

    Au fond, il faudrait peut-être renvoyer le municipal Cerutti à ses fonctions policières et engager quelques frontaliers pour assumer des tâches administratives de la Police genevoise. Au moins la main-courante des faits divers serait écrite en français.

    garde-frontière Bardonnex.jpgAlors que le Conseil fédéral se réunit en conclave samedi 1er mai pour plancher sur sa réforme et possiblement remodeler les départements, notamment fusionner l'armée et la sécurité policière, une petite nouvelle lue sur le blog de la TSR dit l'urgence aussi de verser les gardes-frontière dans ledit département de la sécurité, histoire de bien coordonner les troupes.

    Faute en effet de recrues en suffisance sur le territoire genevoise, dit la nouvelle, la direction des douanes - les gardes-frontière sont rattachés au Département des finances - a dû mobiliser des recrues suisses-allemandes. Du coup, certaines patrouillent se seraient perdues dans la campagne genevoise - ce qui prouve au passage que Genève n'est pas un canton  ville.

    Mais que fait donc Eric Stauffer? Le lider maximo du parti favorable à l'indépendance de la région franco-valdo-genevoise (fusionner la région, c'est la meilleure manière de supprimer le problème des frontaliers), a dénoncé il y a peu le manque de GPS à la police, qui aurait connu, elle-aussi, quelques errements rupestres dans notre canton de 252 kilomètres carrés. Il va sans doute dénoncer l'incurie bernoise.

  • Une tour maraîchère au coeur du PAV

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    Certains imaginent de les réinstaller en ville. Une idée pour donner un nouvel élan au Geneva  green down town, le futur quartier Praille Vernets Acacias, dont rêve le libéral Muller et que le vert Cramer pourrait laisser en héritage avant de quitter la scène politique genevoise d'ici un an et demi?

    A Rennes, un concours d'architecte a décerné le premier prix à une tour vivante. Pour le moment, ce sont les Emirats Arabes Unis et Dubaï qui se sont montrés les plus intéressés par le projet. Voir aussi ici et .

    Pourquoi ne pas l'installer au coeur du PAV? Projetée par Pierre Sartoux et Augustin Rosenstiehl du cabinet SOA Architectes, la tour vivante ambitionne de marier les activités tertiaires et primaires. Les serres expliquent notamment les concepteurs d’une superficie de 7 000m² ont un linéaire continu de 875m pourraient produire  9 324 kg de fraises par an 63 000 kg de tomates par an et 37 333 pieds de salade par an.

     

    tour vivante interne.png

     


    tour vivante.pngL'Etat construit la ville sur les meilleures terres maraîchères. Notez que cette propension à manger la terre arable ne date pas d'hier. Au XIXe siècle déjà les plantaporets durent quitter le quartier de Planpalais-Jonction pour s'installer sur les alluvions de La Praille. Au XXe sicèle, l'affectation de cette plaine au rail et à l'industrie les contraignirent à coloniser d'autres terres plus éloignées. Dans les marais de Troinex, dans la région de Gaillard, dans la plaine de l'Aire. Et voilà qu'au XXIe siècle le projet d'agglomération franco-valdo-genevois promet d'édifier la ville jusqu'à Saint-Julien et tout autour d'Annemasse. Où devront migrer les maraîchers? En Andalousie? Au Maroc? Plus au sud encore?
  • ”Le bouclement de la gare de l'aéroport s'impose”

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    • soit le raccordement Cointrin Bellevue aurait renchérit par trop le projet CEVA, lequel n'aurait pas passé la rampe politique ni à Berne ni peut-être à Genève. On a donc saucissonné au maximum pour tenir la facture au-dessous du milliard de franc.
    • soit ce raccordement Cointrin Bellevue rend la traversée ferroviaire de la rade tellement évidente, car tellement plus logique, qu'on a préféré l'ignorer pour s'en tenir à un serpent urbain, qui tel le monstre du Loch Ness remonte tous les siècles à la surface.

    Il suffit d'observer une carte pour se rendre compte que le raccordement grandes lignes Savoie-Annemasse-Cointrin-Cornavin-Suisse ou Annemasse-Cointrin-Ain-France n'est possible qu'en passant par le lac. Annemasse deviendrait la vraie gare de l'est de Genève sur un axe Bâle-Annecy-Grenoble à développer du côté suisse en créant une nouvelle ligne à grande vitesse entre Genève et la ligne Milan-Paris quelque part entre Lausanne et Cossonay et du côté français en supprimant notamment le zigzag de La Roche-sur-Foron. [cliquer sur la carte pour l'agrandir]

    CEVA alternatif rade et 2e ligne.png

    CEVA alternatif rade et 2e ligne.pngAprès Pierre Kunz qui dans un billet récent qualifie le CEVA de non prioritaire, voici Pagani qui dans la Tribune de ce jour rappelle un autre évidence: "Le bouclement de la gare de l'aéroport s'impose". On n'est bien aise de le lire et l'on s'étonne que ni le projet projet CEVA ni - et c'est plus grave - le projet d'agglomération franco-valdo-genevois ne prévoient pas ce barreau nord, quelque part entre Bellevue et Nyon, voire directement sur la ligne TGV Milan Paris, pour faire de la gare de Cointrin la gare grandes lignes de la région. Deux hypothèses à ce stade: