Rade, lac, GVA, TGVCH, PAV: des espoirs genevois (15/02/2017)

rade grand jardin anglais.jpgPrenez un mot bateau: espoir. Il est un des rares qui, mis au pluriels indéfinis, en donne un autre: des espoirs. Ce qui, on en convient, n'a formellement rien à voir avec le désespoir qu'il est curieux de penser au pluriel d'ailleurs. Les ressources du net nous permettent de poursuivre cette entame philosophique en méditant sur les citations dont le Larousse en ligne nous propose une sélection.

Espoir donc que la Genève du XXIe siècle mette les projets du XIXe en œuvre. Le CEVA, dont le tracé a fait l'objet d'une convention entre le Canton et les alors tout jeunes CFF en... 1912, en est une. Pas le meilleure: j'espère que l'avenir démontrera le contraire.

Espoir que Genève quintuple la surface du Jardin anglais et lance sur le lac un pont digne des plus beaux ouvrages du monde, qui raccorde GVA au Mont-Blanc, en attendant un TGV suisse (Genève-Zurich en une heure) et, dans le PAV ou ailleurs, la première tour maraîchère et son circuit d'ascenseurs autonomes...

 

A propos des ascenseurs autonomes, j'en ai appris plus le week-end dernier au détour hasardeux d'un tweet posté par un spécialiste du genre, le géant Thyssen Krupp. (et ici)

Le géant érige une tour géante (246 mètres de haut) en pleine campagne allemande pour tester des cabines d'ascenseur capables de s'élever toutes seules à 60 km/h dans les étages et même de bifurquer à gauche ou à droite pour déposer leurs passagers dans les ailes des gratte-ciel qui prendront des formes particulières grâce à ces nouveaux ascenseurs mus par des électro-aimants.

Formidable, dirait Ogi! Et ça ne tient même plus à un fil.

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